Née dans un petit village en Dordogne, je me passionne pour les chevaux dès mon plus jeune âge.
Après des études, à Toulouse, en Management et en Ressources Humaines, je me retrouve dans la jungle parisienne comme chasseur de tête pendant plus de quinze années. Je travaille alors comme Manager pour un grand cabinet anglo-saxon puis comme Directrice de développement pour un réseau de franchises dans le secteur du recrutement et du digital.
J’expérimente alors le développement commercial, le recrutement, la communication, le management transversal.
Au décès de mon père, je me retrouve confrontée à une réelle crise de sens voire existentielle. Je perçois alors que mon capital « temps » devient ma véritable richesse. Parallèlement, j’observe le désengagement profond des nouvelles générations au travail. En pleine crise de sens et crise climatique, nous sommes à l’aube d’une refonte de notre modèle économique.
Lors de ces moments de questionnement, le cheval est à mes côtés. Il me replonge dans le moment présent, dans la puissance de notre relation. Je compte sur lui, il compte sur moi.
En effet, par cette confiance réciproque, je repense à Néva (ma jument blanche de mon enfance). Nous étions insubmersibles lors des concours d’équitation. Je comprends alors que cette relation si particulière, que j’ai pu créer, pourrait être un modèle à dupliquer dans nos sociétés : Un modèle qui privilégie la qualité des liens du vivant.
Je suis intimement convaincue que la culture équine pourrait être une source d’inspiration à nos modèles de société (alliant confiance partagée, harmonie collective, bien-être individuel et performance organisationnelle).
De cette conviction, je reprends mes études. ça sera le Celsa Sorbone Université (école de journalisme et de communication) afin de faire une thèse professionnelle sur l’équicoaching (Executive Ms) puis je me certifie au coaching et à l’équicoaching professionnel.
Mon rêve devient alors une réalité en créant Horser®.
Cette agence de coaching, si particulière, a pour intention de participer (tel un colibri) à la régéneressence d’une société beaucoup plus fraternelle et faire éclore le meilleur de chaque être… et tout cela avec l’aide du cheval !
Marion Roca